Un premier bilan pour le député de la Sambre-Avesnois Benjamin Saint-Huile

Publié : 7 juillet 2023 à 18h23 par La rédaction

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Après avoir tenu 2 premières réunions publiques la semaine dernière à Glageon et à Dourlers, l’ancien maire de Jeumont et actuel conseiller régional est allé à la rencontre des habitants du Bavaisis et de la Sambre. Mercredi soir, il était à Taisnières-sur-Hon, puis jeudi à Assevent.

Un an après son élection, Benjamin Saint-Huile est devenu l’un des députés les plus influents à l’Assemblée nationale, en tant que porte-parole du groupe LIOT, qui se situe au centre de l’échiquier politique, avec des parlementaires indépendants des partis politiques, qui ont été en première ligne, notamment lors de la réforme des retraites et des dépôts de motion de censure.

Benjamin Saint-Huile se présente comme un député d’opposition constructive, constamment à la recherche du compromis et qui veut aussi être une « force de proposition », pour défendre les intérêts des français et de notre territoire en particulier.

Aujourd’hui, le député se positionne très clairement en faveur d’un Pacte 3 pour la réussite de la Sambre-Avesnois-Thiérache. Benjamin Saint-Huile tient à rappeler que sans les Pactes 1 et 2, de nombreux projets n’auraient pas vu le jour ou n’auraient pas eu la même ampleur. En 4 ans, plus de 400 millions d’euros auront ainsi été débloqués par l'Etat, la région et les départements du Nord et de l'Aisne pour soutenir les grands projets structurants de notre territoire, à commencer par la mise à 2x2 voies de la RN2 ou le lancement des travaux du contournement d’Avesnes.

Avec les élus locaux, le député veut convaincre le Président de la République à signer un Pacte 3, qui à ses yeux, devra être dédié davantage aux habitants, à celles et ceux qui rencontrent des difficultés à terminer le mois, afin de continuer à faire reculer la pauvreté et à diminuer le chômage, dont les taux restent 2 fois plus élevés ici, qu’au niveau national..

>>> Benjamin Saint-Huile, le député de la Sambre-Avesnois :


Par Paul Schuler