L'Actu en Bref en Val de Sambre, le mercredi 22 juillet 2020
Publié : 22 juillet 2020 à 8h00 par Delphine Hernu
Une entreprise de production de masques FFP2 bientôt à Marpent, elle sera capable de produire 40 000 masques par jour, dans un premier temps, dès le mois de septembre, d’abord pour le corps médical au niveau local puis à l’échelle de la France. Deux chaînes de production sont en cours d’installation, rue Pasteur sur une ancienne Friche industrielle. A l’origine du projet, Hakim Boubbiche, grossiste répartiteur à l’export de produits pharmaceutiques, parapharmaceutiques et de matériels médicaux. Dans son activité, il a été amené à importer pas loin de 20 millions de masques chirurgicaux pour l’Europe dans la période critique du Covid-19, en mars dernier. Interview d’Hakim Boubbiche et du Maire de Marpent, Jean-Marie Allain, sur www.canalfm.fr
Une cartouche de cigarettes, pas plus : la France restreint les achats de cigarettes et de tabac dans les pays voisins comme en Belgique, une cartouche de cigarettes contre 4 auparavant, l’amendement du Gouvernement pris au début du mois, vise un objectif de santé publique, un objectif fiscal aussi pour que les taxes sur le tabac reviennent à la France. La fermeture des frontières pendant le confinement a fait revenir les fumeurs chez les buralistes frontaliers, le début d’un changement qu’ils espéraient depuis longtemps. Réaction d’Olivier Martin, Buraliste à Hautmont et Président de la Chambre Syndicale des Buralistes de Sambre Avesnois, dans une Long Format à écouter sur www.canalfm.fr
Après Maubeuge, il y a un an, Jeumont a pris un arrêté contre la vente de protoxyde d’azote pour les mineurs. Le protoxyde d’azote, c’est ce qu’on trouve dans ces petites cartouches, gris chromé, contenant un gaz utilisé pour les siphons à chantilly. Sauf que ce gaz est hilarant et les cartouches se retrouvent dans la rue, bien loin de la cuisine. A Jeumont, les moins de 18 ans ne peuvent désormais plus les acheter ni même en détenir. Une décision communale alors que l’Assemblée Nationale en débat en ce moment, pour encadrer son usage.
Retour sur le défilé du 14 juillet à Paris dans sa version inédite, une Douanière de Maubeuge, Annie Lebrun, faisait partie du bataillon et des personnels mis à l’honneur sur la Place de la Concorde. A Bercy, elle a ensuite reçu la médaille du bataillon du 14 juillet 2020, des mains de Bruno Lemaire, Ministre de l’Economie et des Finances.
Cet été, il y a l’Ecole apprenante, il y a aussi les Colos apprenantes comme à Feignies en partenariat avec l’Education Nationale : apprendre et renforcer ses compétences par le jeu, le sport, la culture et le développement durable au Val Joly et au Centre d’Amaury. Ça va se passer sur une semaine à partir du 24 août. Pourquoi je vous en parle ? Parce que les inscriptions, c’est jusqu’au 4 août en mairie, elles sont ouvertes aux primaires et en particulier aux CM2 qui entrent en 6ième ainsi qu’aux collégiens. (Renseignements, inscriptions auprès de Guillaume Parée, Directeur de l’éducation de la Ville de Feignies g.paree@ville-feignies.fr, 03 27 66 08 46)
Cet été, il y a Maubeuge en Plage, Avesnes Plage, il y a aussi Moulin en Plage, celle-ci est réservée aux résidents de l’EHPAD La Maison du Moulin à Maubeuge : dans le jardin de l’établissement : du sable, des cabines de plage, une ambiance camping avec des jeux, des ateliers créatifs, de la danse, des soirées karaoké ou cinéma. Une façon pour les résidents d’oublier les longues semaines de confinement.
A Maubeuge depuis un an, le nombre d’adoption est en hausse au Refuge Edile Lacroix. Une augmentation qui n’a pas souffert du confinement. En mai et juin, 27 chiens ou chats ont été adoptés et ce sont les chats qui sont le plus adoptés. Les opérations de dons ont rencontré, elles aussi un joli succès, explique le refuge.
A Maubeuge, il y a le zoo avec ses 350 pensionnaires et en face, sur le parvis de l’hôtel de ville, de drôles d’animaux qui habillent les pots de fleurs géants de l’esplanade : girafe, zèbre, paon, flamant rose, ces animaux de près de 3 m de hauteur, ont été réalisés en tricot, par les Tricopines, des tricoteuses à l’imagination débordante qui tricotent ensemble deux fois par semaine dans les locaux de l’association Excentric (Contact, Service culturel de la ville : 03 27 53 75 49).