au mardi 9 avril dans le Sud-Avesnois et en Thiérache

Publié : 9 avril 2019 à 8h56 par La rédaction

On en sait un peu plus sur la violente collision qui s’est produite samedi sur la route départementale 31, à Wimy, dans le canton d’Hirson et qui a fait 2 blessés graves. Ce choc frontal a été occasionné par un automobiliste qui conduisait trop vite et sous l’emprise de l’alcool. Il affichait 1,42 gramme d’alcool par litre de sang. Agé de 27 ans et originaire de la Thiérache, ce jeune homme devra répondre de ses actes, prochainement devant la justice. Quant aux deux victimes domiciliées à Wimy et à Étréaupont, elles ont été transportées à l’hôpital d’Hirson dans un état grave. Elles souffriraient de plusieurs traumatismes et notamment de blessures au niveau des jambes.


Des pièces de collection dérobées à Hirson : les faits ont été commis le 31 mars, dans une habitation de la rue Chanzy. Après avoir forcé une fenêtre en bois, les cambrioleurs ont fouillé toute la maison, puis renversé le contenu des meubles au sol, avant de repartir avec des pièces de collections, soit l’équivalent de 600 € en pièces de 2 €. Aucun autre objet de valeur n’a été dérobé. D’après la gendarmerie d’Hirson, les voleurs connaissait l’existence de cette collection, dont la valeur pourrait quadrupler d’ici quelques années.


Un véhicule poussé dans la rivière à proximité de la cascade d’Hirson : c’est un touriste belge, qui rendait visite à des amis au camping de Blangy, en forêt d’Hirson, qui a connu cette mésaventure. L’homme avait garé son véhicule sur le parking extérieur, mais au moment de récupérer sa voiture, il l’a retrouvé en bas d’un talus, au pied de la rivière et à quelques mètres de la cascade. La voiture a-t-elle été poussée volontairement ou les freins ont-ils lâchés. La première hypothèse est actuellement privilégiée par ce touriste Belge.


Un Thiérachien de 33 ans interpellé en flagrant délit, alors qu’il était en train de cambrioler la maison de son oncle décédé à Seboncourt, entre Bohain et Guise. L’homme a agi en état d’ébriété. Il avait cassé un carreau à l’arrière de l’habitation, pour tenter de dérober des affaires de chasse, un fusil, des cartouches et divers vêtements de son oncle. Les faits ont été commis dans la nuit de dimanche à lundi, vers 1 heure du matin. A l’arrivée des gendarmes, le voleur a tenté de se cacher dans le grenier, armé d’un couteau. Il a finalement été interpellé au bout d’un quart d’heure. Notons que de nombreuses dégradations avaient été commises au préalable. La tante a porté plainte et son neveu devra répondre de ses actes prochainement devant la justice.


Un vol à la roulote à Origny-en-Thiérache : les faits ont été commis le 4 avril entre 9h et midi. Le propriétaire d’un véhicule de service avait oublié un portefeuille sur le siège d’un passager.  Les voleurs ont donc cassé une vitre arrière du véhicule et sont repartis avec les papiers et la carte bleue du conducteur. D’après l’Union, le préjudice subi s’élèverait à plus de 125 €.


Encore une conduite alcoolisée dans le centre-ville d’Hirson : l’interpellation s’est produite dans la nuit du 6 au 7 avril, avenue du Maréchal-Joffre. Un jeune conducteur de 22 ans, originaire de Glageon, dans le sud-Avesnois, a été signalé auprès des gendarmes d’Hirson, après avoir effectué plusieurs écarts et zigzagué dans le centre-ville. Le test d’alcoolémie s’est révélé positif. Ce jeune homme circulait avec 0,90 gramme d’alcool par litre de sang. Son permis a donc été aussitôt suspendu, dans l’attente d’une décision de justice.


L’incompréhension des parents d’Éric De Putter, à Wignehies : ils refusent que l’assassinat de leur fils puisse déboucher sur un non-lieu. Docteur en théologie de 31 ans, Éric De Putter était en mission pour le Service protestant, dans une université du Cameroun, lorsqu’il a été mortellement poignardé à son domicile. Dans un entretien accordé à nos confrères de la Voix du Nord, les parents d’Éric De Putter affirment que leur fils a sans doute été victime d’un règlement de compte, sur fond de corruption. Le jeune Docteur avait en effet, dénoncé à plusieurs reprises des malversations et des détournements de fonds au sein même de l’université où il enseignait. Ces parents sont donc convaincus que le commanditaire du meurtre a voulu le faire taire, avant son retour de France, qui était programmé une semaine après le drame.


Les inscriptions à Pôle emploi pourront continuer à se faire sur Fourmies : il y a quelques semaines, Mickaël Hiraux, le maire de Fourmies et Jean-Luc Pérat, le maire d’Anor et Président du sud-Avesnois, avaient manifesté leur mécontentement auprès des responsables de Pôle Emploi, ayant eu connaissance d’un projet qui aurait obligé les fourmisiens souhaitant s’inscrire au chômage, et dont la plupart sont dépourvus de moyens de locomotion, à se rendre obligatoirement à l’agence Pôle Emploi d’Avesnelles. Finalement, face à la pression des élus, la direction régionale de Pôle Emploi est revenue sur sa décision. Les entretiens pour les inscriptions au chômage et les suivis des demandeurs d’emploi se feront à nouveau sur  Fourmies.


Une nouvelle saison culturelle pour l’écomusée de l’Avesnois, placée sous le signe des années folles, à Fourmies et à Trélon : alors que plusieurs animations seront déclinées autour du design à l’atelier-musée du verre de Trélon, cette année, c’est le musée du textile à Fourmies qui accueillera l’exposition phare. Si les voitures Génestin, produites à Fourmies dans les années 1920, sont effectivement à l’origine de cette exposition, Solenne Rouault, la directrice et conservatrice de l’écomusée de l’Avesnois tient toutefois à préciser, que cette exposition dépasse très largement la collection de voitures anciennes de l’écomusée, car c’est toute l’épopée automobile de l’entre-deux guerres qui sera mise à l’honneur.


Le festival du film d’animation se poursuit cette semaine à Trélon : Au programme, il y aura jusqu’à jeudi, l’organisation de plusieurs ateliers pour apprendre à créer son propre dessin animé, l’aide d’une tablette numériques et de petites figurines en pâte à modeler. Il y aura aussi, cet après-midi à 14h30, à l’auditorium du Bol Vert de Trélon, la projection du film d’animation « Pachamam », un film nominé aux oscars 2019. Demain, toujours à 14h30 et au même endroit, c’est le film « Norm », avec les voix d’Omar Sy et de Lucien Jean-Baptiste qui sera diffusé. Entrée ligne et gratuite. Le programme complet de ce festival se trouve sur le site Internet de la ville de Trélon.


Une nouvelle saison culturelle pour l’écomusée de l’Avesnois, placée sous le signe des années folles, à Fourmies et à Trélon ! Alors que plusieurs animations seront déclinées autour du design à l’atelier-musée du verre de Trélon, cette année, c’est le musée du textile à Fourmies qui accueillera l’exposition phare. Si les voitures Génestin, produites à Fourmies dans les années 1920, sont effectivement à l’origine de cette exposition, Solenne Rouault, la directrice et conservatrice de l’écomusée de l’Avesnois tient toutefois à préciser, que cette exposition dépasse très largement la collection de voitures anciennes de l’écomusée, car c’est toute l’épopée automobile de l’entre-deux guerres qui sera mise à l’honneur.


L’exposition « A toute allure, l’épopée automobile dans les années folles » est à découvrir dès le 4 mai au musée du textile à Fourmies. En attendant, il y aura dès demain une opération « qui a eu cette idée folle un jour d’inventer l’école » à Fourmies et un atelier « Pâques au musée », pour apprendre à décorer des œufs en verre fabriqué à l’atelier-musée du verre à Trélon.